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grilled marshmallows or grilled pig ? (astoria&apollo)
Apollo-Jules Moreau
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Apollo-Jules Moreau
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Lun 10 Déc - 18:29

Happier - Marshmello

Au cirque, un jour de fermeture. Il faisait encore frais en cette douce matinée qui avançait doucement et tranquillement, chacun commençant à quitter leur lit et leur roulotte pour aller s’occuper ou s’entrainer, voir profiter de la journée pour aller se balader en ville. Tout était calme. Trop calme ? N’y comptez pas, avec les jeunes qui y trainent et les personnalités particulières qui anime le cirque et encore moins quand A.-J. Était dans les parages. Cela ne resterait jamais calme assez longtemps.

De la fumée commençait à s’élever, plus loin derrière le cirque et surtout à distance de la forêt. Cela sentait malgré tout le bois brulé, mais aucune crainte, ils n’ont pas mis des arbres à brûler et rien ne prenait feu. Du moins pas accidentellemment. Du moins pas encore… Des vieux trucs à se débarasser, Apollo avait proposé de les brûler, ça a plus à certain et ça a suffit, un énorme bûcher était lancé.

Le brun avait quitté le groupe qui surveillait que le feu ne s’étendait pas et continuaient de ramener ce qui était bon à jeter depuis le temps. Un peu de rangement pour mieux entamer la saison un peu plus calme de l’hiver, juste avant les fêtes de fin d’année. Puis, il n’y aurait plus d’excuse pour investir, vu qu’il y aurait de la place maintenant. L’humain croisait alors Astoria. Croiser était un grand mot, trop occupé à roulé son joint, il l’avait percuté, tout son tabac et son herbe qui finit dans le décolleté de la patronne. Il resta un moment à fixer sa poitrine hésitant entre être gêné ou aller chercher sa drogue. C’est que ça coutait cher. Il posait alors ses yeux dans les siens et il sentait qu’il ferait mieux de ne rien faire. « Fais chier... » Claquait-il sa langue d’agacement, froissant sa feuille et jetant le tout par dessus son épaule. Tant pis.

« Tu tombes bien ! Ouais, je sais, ça sent le cramé, mais on fait du rangement, on brule ce qui nous sert plus et qui doit être jeté depuis longtemps, mais vu que personne n’a envie d’aller les déposer dans une déchèterie… J’ai trouvé une idée. On s’était dit… Il nous faut des marshmallow ! Puis pourquoi pas un cochon, à faire griller comme des sauvages hein !… » il marquait un silence pour le suspens. « Barbecuuuue ! Enfin… » se reprit-il après avoir chantonné gaiment, un peu trop fort sûrement. « … Petit barbecue improvisé ? Tu viens avec moi, je dois trouver un cochon, je ne sais pas où on en trouve un entier. J'ai dis que je m'en occupais, j'sais mais... Des ribs, ce serait quand même plus simple… » soupirait-il. « Allez viens avec moi ! On va au moins chercher des marshmallow à faire griller. » lui dit-il finalement sans lui laisser le choix. Il lui prit le bras et l’entrainait derrière elle. « On prend ta caisse ? Faut aller en ville… Et je suis trop défoncé pour conduire !!! » se vantait-il, ayant surtout envie de se faire conduire.

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Astoria K. Ravenwood
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Lun 10 Déc - 21:28
A-J. Moreau
Grilled marshmallows or grilled pig ?
Certains matins, Astoria préférait restée enfermée dans sa tente pour ne pas avoir à affronter le monde extérieur. Elle se montrait très détachée, très sûre d'elle, mais c'était tout le contraire. Depuis qu'elle était partie du manoir Ravenwood, Astoria devait se débrouiller seule et c'était plus compliqué qu'elle ne l'imaginait, surtout qu'elle n'avait pas de domestique pour s'occuper d'elle. Penser à tout. En permanence. Elle se levait donc de son lit et décidait de prendre un bain chaud. Pendant que l'eau coulait, elle regardait sa garde robe pour décider de ce qu'elle mettrait en ce début d'hiver. Une fois dans l'eau bouillante, Astoria se mettait à réfléchir au cirque, à cette petite communauté qu'elle avait réussi à mettre en place, aux loups qu'avait envoyé Lysandro pour les protéger elle et sa communauté, à toutes ces choses qui la rassuraient un peu finalement. C'était en sortant de l'eau qu'elle avait senti une odeur de brulé. Elle s'habillait rapidement, enfilant une robe noire près du corps, des bas couleurs chair avec un trait noir à l'arrière, des chaussures noirs à petits talons et une grosse fourrure couleur fauve autour des épaules. Elle se dessinait un trait d'eye-liner sur les yeux et rougissait ses lèvres. Astoria cherchait alors d'où provenait l'odeur et d'un pas décidé, elle s'enfonçait un peu dans la forêt.

C'est là qu'elle avait aperçu un grand feu avec des membres du cirque autour, alors qu'elle s'apprêtait à demander de quoi il s'agissait, quelqu'un lui rentrait dedans. Elle avait de suite reconnue la chevelure châtain d'A-J. Apollo-Jules est un humain qu'elle a d'abord toléré et qu'elle a finit par intégrer à sa communauté et à son cirque. C'était un garçon un peu paumé, mais Astoria a un penchant pour les bêtes blessées et rejetées. Elle l'avait vu d'un mauvais oeil et puis il s'était montré utile, alors elle aavait décidé de le garder. « Fais chier… » Elle entendait cette phrase dites à mi-voix, elle posait ses poings sur ses hanches pendant qu'A-J. regardait le décolleté de la belle alors que son herbe se perdait dans ce dernier. Astoria avait levé les yeux au ciel et secoué la tête de droite à gauche. Elle haussait un sourcil. « C'est quoi tout ça ? » A-J. reportait alors son attention sur la directrice et lui répondait « Tu tombes bien ! Ouais, je sais, ça sent le cramé, mais on fait du rangement, on brule ce qui nous sert plus et qui doit être jeté depuis longtemps, mais vu que personne n'a envie d'aller les déposer dans une déchèterie… J'ai trouvé une idée. On s'était dit… Il nous faut des marshmallow ! Puis pourquoi pas un cochon, à faire griller comme des sauvages hein !… » Un silence s'en était suivi avant qu'il ne reprenne ses explications. Astoria l'écoutait, dubitative, se demandant si il était sérieux ou si il était idiot. Inconsciemment elle optait pour la deuxième solution. Le pire fut quand il l'attrapait par le bras pour l'emmener en direction du cirque afin de récupérer la vieille Jaguar verte S-Type de 1970 qu'Astoria s'était vue offerte à son trois centième anniversaire, mais la dernière remarque était, pour le coup, des plus lucides. Astoria ne laissait déjà personne conduire sa voiture, alors un A-J défoncé, c'était hors de questions. « Tu crois que c'est toi qui décides A-J ? Ici ça ne marche pas comme ça, avant de faire ce feu, vous auriez dû me prévenir ! » Vous laissiez un silence planer, à votre tour, mais l'idée de faire griller un cochon lui plaisait beaucoup, un repas festif, ça ne pouvait que réchauffer les coeurs. « Bon, suit-moi. »

Astoria avait démarré la voiture et ils s'étaient rendus au supermarché du coin. Astoria ne savait pas du tout ce qu'il fallait faire, elle se doutait bien qu'il fallait allé chez le boucher, mais pour le reste, elle était complètement perdue. « Bon, il nous faut une grande table, des braseros, une grande tente, des fleurs, de la porcelaine et du cristal, il faut aussi que je trouve des serveurs… » Elle faisait la liste à haute voix de ce qu'elle connaissait des soirées qui étaient organisées au Manoir. Elle se retournait avec A-J qui semblait déjà ailleurs. « Tu m'écoutes, oui ? Qu'en penses-tu ? Je ne sais pas faire simple. » Elle se rendait bien compte que ce n'était pas vraiment à quoi il avait pu penser, une autre chose qu'elle devait apprendre : la simplicité.

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Apollo-Jules Moreau
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Mar 11 Déc - 8:43

Happier - Marshmello

Si cela aurait été Theodora ou encore quelqu’un d’autre, il serait carrément aller lui dire de se secouer le soutien-gorge, il aurait tout récupérer sur sa feuille en dessous… Mais Astoria. Déjà, vu comme elle le prenait sur le fait qu’il n’aurait pas du prendre de telle initiative sans lui parler, c’était évident qu’il devait faire une croix sur son canabis et son tabac. Il en roulerait un autre plus tard, quand il aura la motivation.

En attendant, devant les remontrance de la Reine des lieux, il fronçait les sourcils, la bouille d’un enfant qui boude. « Mais ! » s’emportait-il, « Je sais… » et reprit-il beaucoup plus calme la seconde d’après. « Toutes façon, on devait les jeter non ? S’en débarrasser ! ... J’ai juste trouvé une autre solution, n’aie pas peur, je ne remets pas en cause ton autorité ici…» lui dit-il en se moquant un peu d’elle. « T’as l’air paumé et perdue… Un peu dépassé, je voulais juste rendre service et aider. T’aurais eu ça de moins à gérer… » lui partageait-il alors. C’était sincère. Il l’avait pensé comme ça et sur le fait qu’il ferait bien un grand feu. Détruire des choses, surtout si elles étaient condamnées à ça… Cela faisait du bien de temps en temps. Cela m’évitait d’en coller une à ma mère ou ma grand-mère… Aaaah les nanas… C’est dur parfois de se retenir. Une rage dévorante…

Il reprit son ascension vers la voiture, elle avait l’air convaincu pour l’aider à trouver à manger. « Bon choix, tu verras, une petite soirée pas prévue, c’est ce qu’il y a de mieux. Cela va faire du bien à tout le monde… » A.J. ne cachait jamais sur une petite soirée. Il s’installait dans la voiture tout guilleret. Si cela n’avait tenu qu’à lui, il se serait allongé à l’arrière, la banquette était si confortable. Un vrai petit canapé. La réputation de ces voitures. « Tu sais que c’est la meilleure voiture pour s’envoyer en l’air au milieu de la forêt… » lui commentait-il après avoir bouclé sa ceinture. Il glissait un écouteur dans son oreille dans le même mouvement et la musique crachait. Il n’en mis qu’un, un peu de respect pour Astoria et l’entendre si elle parlait, mais il avait déjà passé trop de temps sans musique.

Arrivant au centre ville, vers les commerce, la blonde commençait à s’emballer alors qu’Apollo se laissait bercer par le paysage urbain qui défilait à la fenêtre, le front collé dessus. Il en avait laissé une trace, un peu de son ADN. Il l’écoutait que d’une oreille, roulant à un moment des yeux. « Ouais, si tu veux… » avait-il marmonné avec l’insolence digne d’un adolescent ingrat. Une table, il y en avait plein le cirque, ils s’arrangeraient. Elle continuait et il sourit en entendant brasero et rit avec les serveur. « Tu sais que touuuut ça, ça ne va pas rentrer dans ta voiture ?! Bon deux petits brasero et la table, d’accord, les bouteilles hm, on les glissera quelque part… Le cochon ? Sur le toit peut-être et les serveurs ? Ils courent à côté de la voiture en tenant chacun un sachet de guimauve… Oui, bon d’accord, ça peut le faire… » soupirait-il, faussement sérieux et sortit de la voiture. Il attendait de voir sa tête par dessus la carrosserie du véhicule. « On va juste prendre un cochon, des truc à grignoter et des marshmallow » parce que ça il y tenait, « et à boire… C’est tout. Rien de plus simple. Plus c’est simple et plus c’est authentique et appréciable, crois moi. Ecoute un flemmard de haute catégorie… »

Il s’éloignait de la voiture pour se diriger vers le supermarché. « En plus, ils louent pas de serveur ici… » lui rajoutait-il comme commentaire une fois à sa hauteur, les yeux rivé sur le nom de l’enseigne. « Laisse moi faire. Toi, t’auras qu’à dire amen à tout ce que je dis et je fais, tendre les mains quand je te tend quelque chose, sortir ta carte bleue si ça te démange, je serais pas contre… ». Il avait jamais un sou. « Et conduire ta cabine de sex roulante avec tout ce qu’il faut dedans pour passer une putain de party… Puis finir par profiter de la fête. » un clin d’oeil et il lui offrit son bras pour entrer. « Je vais t’apprendre la vie, tu sais celle tout en bas de ta tour d’Ivoire. »  

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Astoria K. Ravenwood
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Astoria K. Ravenwood
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Lun 31 Déc - 0:13
A-J. Moreau
Grilled marshmallows or grilled pig ?
Apollo avait le don d'exaspérer Astoria. Elle avait fini par s'y faire avec le temps, mais elle continuait à souffler juste pour le plaisir. Apollo n'était pas un mauvais garçon, il était un peu paumé, mais Astoria l'était aussi. Le monde dans lequel elle évoluait aujourd'hui était complètement différent de celui dans lequel elle avait vécu. Alors qu'elle ne pouvait se déplacer sans une horde de garde du corps, elle était libre de ses mouvements. Alors qu'elle organisait des dîners avec des centaines d'invités, tous plus riches les uns que les autres, elle se retrouvait à gérer un cirque. Elle aimait ça, cela dit, avoir des gens sous sa responsabilité, monter des spectacles, gérer des budgets. Mais Apollo avait toujours le don de la surprendre, ce n'était pas de la candeur ou de la stupidité, Astoria était bien incapable de mettre un mot dessus, mais quoi qu'il en soit, il faisait les choses telles qu'elles lui arrivaient dans la tête. C'était clairement sa façon d'aider la demoiselle à gérer sa nouvelle vie, à faire les choses plus normalement et surtout de la manière dont les humains lambda le feraient.

Une fois sur le parking, alors qu'Astoria énumérait ce dont elle pensait avoir besoin, Apollo lui riait au nez. Lui expliquant point par point pourquoi toutes ses idées n'étaient pas réalisables, mais encore une fois, Apollo s'adressait à Astoria avec un sourire sur les lèvres et Astoria ne lui en voulait pas de démonter son idée comme il le faisait. Au manoir, les domestiques acquiesçaient lorsqu'Astoria leurs donniez des ordres, il n'y avait que Primrose et Dorianne, vos mères, qui osaient lui dire lorsque quelque chose n'était pas réalisable. Astoria suivait le jeune homme jusqu'à l'intérieur du magasin et elle restait légèrement en retrait. Astoria éprouvait un mélange d'admiration et de dégoût. Elle avait pourtant vécu pire lorsqu'elle avait reprit le cirque. Alors qu'il lui tendait son bras et qu'il lui promettait de lui apprendre tout ce qu'il y avait à savoir de la vraie vie, Astoria enroulait le siens autour et acquiesçait d'un signe de tête. « Une carte bleue ? À quoi cela sert-il ? » Astoria ne se trimballait jamais avec une carte bleue, elle avait toujours une liasse de billet dans son sac. Oui, elle vivait clairement dans un autre monde, mais c'était ainsi qu'elle avait toujours vécu et elle n'avait jamais eu besoin d'une carte pour faire quoi que ce soit.

Les yeux d'Astoria s'arrondissaient à chaque fois qu'elle passait devant un étalage, elle n'imaginait pas que l'on puisse trouver autant de choses dans un seul endroit. C'était surtout le choix qu'il y avait. Des boissons aromatisées à tout en quantité phénoménales, des étalages de bonbons en tout genre, du chocolat en veux-tu en voilà… Astoria tombée sur une boisson « Coca-cola Cherry ? Quel goût ça a ? On peut en prendre ? » Astoria dénotée clairement dans ce paysage, avec sa grosse fourrure autour des épaules, ses chaussures à talons et ses cheveux blonds platines, les autres clients la regardaient de haut en bas, bien trop classe pour une enseigne telle que celle-ci. Pourtant, Astoria s'en amusait. Elle s'amusait toujours autant de voir la réaction des humains face à une jeune femme telle qu'elle. Alors qu'elle s'approchait du rayon boucherie avec le caddie qu'elle avait donné à Apollo après avoir vu une cliente s'en servir, elle regardait les viandes proposées. « Nous aimerions, mon ami et moi, le plus gros cochon que vous ayez. » La demoiselle souriait au boucher qui restait interloqué. « Allez, allez, dépêchez-vous, nous n'avons pas toute la journée mon cher. » Le pressait-elle alors. Astoria s'amusait, elle aimait déambuler dans les étales du magasin et regarder les produits, elle avait vu des gens faire et les avaient imités, bien qu'elle ne sache pas vraiment ce qu'elle devait regarder avec autant d'attention au départ, elle avait fini par comprendre qu'ils lisaient les ingrédients et Astoria ne comprenait pas pourquoi ils faisaient cela alors que les trois quarts des ingrédients étaient incompréhensibles, mais cela l'amusait. « Tu avais raison Apollo, c'est très amusant. Cependant, je ne comprends pas pourquoi ces personnes lisent les ingrédients. Sais-tu ce qu'est le E950 ? » Demandait-elle, presque dégoutée par ce que cela pourrait être.

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Sam 5 Jan - 14:25

Happier - Marshmello

Mais elle aussi… On n’est parti pour une petit barbecue, vu qu’on va faire cramer un paquet de truc, un vrai petit bûcher ! Autant que ce soit festif. Enfin, tout était excuse pour être festif avec A.-J. Elle est folle. Tout de suite, elle veut son banquet royal en extérieur, avec brasero et serveur. Il y aura déjà un énorme feu, et si on évite l’incendie c’est déjà pas mal… Pourquoi multiplier les risques… Il lui expliquait avec son humour et toujours son petit sourire innocent à quel point elle allait un peu trop loin, ses idées étaient complètement folles. Du moins, disproportionnée. Elle lui prit le bras qu’il lui tendait, tapotant sa main sur la sienne. Ils feraient simple ce soir, il allait lui apprendre comment faire. Faire simple et plus vrai.

Et vu qu’elle avait l’air si motivée à faire une énorme soirée, je me suis dis qu’elle allait peut-être payé un minimum, que ce soit un peu réussi. Qu’on profite quand même… Enfin, je veux dire elle n’a pas l’air trop regardante sur les dépenses. Malheureusement, elle m’a foutu les boules en demandant ce que pouvait être une carte-bleue comme si je lui demandais si elle avait un pistolet plasma. « Laisse tomber… C’pas grave. T’as de quoi payer ? » Demandait-il innocemment. Au pire, il verrait avec ce que les gens avaient donnés en participation et ce qu’il pouvait se mettre dans les poches discrètement.

Une fois la réponse donné et dans la supérette du quartier, il gambada jusqu’aux caddies pour en emprunter un. Il s’amusait à faire de la trottinette avec dans les rayons alors que la blonde découvrait le monde humain de la classe moyenne, voire basse classe. Elle marchait d’un pas léger et presque volatile d’un article à l’autre, toujours plus étonnée et curieuse. Quand Apollo arrivait au bout du rayon et qu’il se retournait pour faire demi-tour, il l’observait avant de repartir pour un tour de trottinette. Son allure… C’est vrai qu’elle faisait tâche ici. Elle était marrante. Apollo arrivait jusqu’à elle en roulant avec le caddie, freinant enfin à sa hauteur. « Oui, prends ! T’as jamais bu de Coca-Cola ? T’abuse. Le Cherry, c’est le meilleur, enfin si t’aime la cerise. Prend celui avec l’étiquette rouge va. Je vais acheter de la glace vanille et te faire découvrir une tuerie question boisson sucrée et gourmande. C’est la boisson américaine… ». Il en avait déjà l’eau à la bouche de se faire un vrai cola-vanille à la mode des années 60.

Il attendit qu’elle dépose les bouteilles dans le caddie. « Prend la bouteille violette là, et puis la rouge, avec tes mains… » commençait-il à lui expliquer comme si elle était un peu retardée. « Et tu les poses dedans là… » lui montrait-il le caddie avec un sourire. Ce n’était pas méchant du tout, il l’éduquait avec innocence, promis. « Tiens, prends le caddie. Tu peux juste le pousser, pas besoin de faire le con comme j’ai fais hein. Puis avec tes chaussures tu vas juste perdre tes dents dans l’histoire. Tu seras nettement moins classe d’un coup. » dit-il avec un sourire en biais, bien peiné par cette image.

Apollo l’abandonnait un instant pour aller chercher les marshamallow dans le rayon d’à côté. Bien sûr, lorsqu’il était revenu au soda, Astoria n’était plus là et le caddie non-plus. Elle a donc réussi à dompter la bête. Il la retrouvait rapidement devant le rayon boucherie. Il lâchait les sucreries dans le caddie et restait à côté de la blonde à fourrure. Il resta un moment interdit devant les paroles d’Astoria, un peu surpris, choqué et tellement amusé. Il finit par se décoincé et eut un léger rire. « Non, mais laisse moi parler en fait… » lui fit-il alors que le boucher fixait encore la blonde, perdu. « Vous avez des cochons de lait en stock ? Deux genre ? » Précisait-il un peu plus la demande de la femme. Le boucher soupirait et secouait la tête dépité. « Elle pouvait pas demandé ça comme tout le monde ? » Pestait l’homme. Apollo lui lança un regard légèrement mauvais. « Ouais. Mais bon le reste était plutôt clair non ? Plus vite que ça, elle a dit je crois ? ». Juste pour le remettre un peu à sa place. Lui, ce n’était pas pareil il avait le droit de se payer sa tête.

Le boucher partit en chambre froide pour leu ramener ce qu’il avait commandé. Astoria lui posait alors une question étonnante. « Euuuh… Je sais pas. Laisse. T’façon toi les ingrédients, quoi qu’il y ait dedans, ça n’auras plus d’impact sur toi, vu que t’es déjà morte. Les gens, ils veulent juste manger plus sains pour éviter les cancers et les maladies, Moi je pense surtout qu’ils trouvent pas leur vie assez compliqué comme ça… Le temps que tu perds à lire ce que tu manges, pfff… » et pourtant lire, il aimait ça.

Le boucher revenait avec deux carton et les cochons de lait dedans. Apollo tapotait dans ses mains, excité comme un enfant juste avant Noël. Le tout calé dans le caddie et ils continuaient de vagabonder entre les rayons.

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Astoria K. Ravenwood
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Lun 18 Fév - 20:12
A-J. Moreau
Grilled marshmallows or grilled pig ?
Toutes ces choses donnaient envie à Astoria, peut-être parce qu'elle ne connaissait rien de tout cela. Elle était morte il y a bien longtemps et elle n'avait jamais eu à faire semblant d'être humaine. Astoria avait suivi sa mère et sa cour au fil des siècles sans chercher à se mêler au commun des mortels. Depuis qu'elle avait appris que Dorianne n'était pas sa mère, se sentant trahi par les siens, elle avait fui, ignorant les conséquences de son acte. Elle s'était retrouvée seule, traquée par des chasseurs, blessée et perdue, elle avait eu l'impression de toucher le fond. Imaginez ce que c'est que d'avoir cette impression pour un Vampire de trois cents vingt années qui n'a toujours connu que la grandeur… Heureusement qu'elle était tombée sur un sorcier au grand coeur et qu'il l'avait ramené au Coven Saint Hildegard où lui et sa mère s'étaient occupés d'elle. Sans eux, Astoria ne serait certainement plus de ce monde et elle en avait conscience. C'est pour cela qu'elle avait ouvert le cirque. Elle avait voulu aider les Blaine comme ils l'avaient aidé elle. Le Lullaby's était une sorte de refuge pour toutes les créatures qui avaient besoin d'un toit, qui avaient besoin d'une famille pour x ou y raisons. Astoria les accueillaient, mais à condition que ceux-ci se plient aux règles. Au cirque, il fallait se tenir droit, ne pas faire de débordement et ne pas attirer l'oeil des chasseurs et shadowhunters. Astoria tenait donc énormément à ce lieu et aux créatures qui l'animaient. Elle avait donc été obligée de se mêler aux humains et d'agir comme eux, sauf qu'elle restait souvent en retrait, cachée dans sa tente, pendant que des membres du cirque sortaient au grand jour pour lui ramener du sang ou des nouvelles. Elle ne voulait pas croiser quelqu'un de son ancienne vie, elle ne voulait pas croiser Primrose ou même Dorianne, bien que cela soit peu probable pour cette dernière.

C'était donc une grande première pour Astoria. La ville, le magasin de proximité, les marchandises… Son allure dénotait, surtout quand elle se tenait à côté d'Apollo qui lui se mêlait facilement à la masse puisqu'il était des leurs. Malgré ses moqueries, Astoria voyait bien qu'il souhaitait surtout l'aider à découvrir ce monde. Apollo était un petit emmerdeur, mais elle l'appréciait tout de même, parce qu'au fond il n'était pas méchant, il se donnait surtout des airs afin de se protéger surement et Astoria connaissait bien cela. Elle gardait souvent le masque de la femme forte, froide et carrée alors qu'au fond elle avait une peur bleue de ce que l'avenir lui réservait, maintenant qu'elle n'habitait plus au manoir. Apollo lui expliquait ce qu'était le coca-cola et il finissait par prendre les devants face au boucher qui ne semblait pas comprendre ce qu'Astoria désirait. Alors qu'il se montrait discourtois envers Astoria, Apollo prenait sa défense et cela fit sourire la Vampire. Pendant que le boucher était parti chercher les cochons de lait, Apollo expliquait à la demoiselle que les gens lisaient les ingrédients et qu'ils se perdaient dedans à vouloir manger sain en ajoutant que pour la demoiselle cela n'avait pas trop d'importance puisqu'elle était morte de toute façon. « Ce n'est pas faux. Mais toi, tu t'en fiches ? Le but de l'humanitée n'est-il pas de rester en vie le plus longtemps possible ? » Astoria s'était rendu compte que beaucoup d'humains étaient prêts à vendre leurs âmes afin de vivre longtemps et surtout dans la richesse. « Tu ne voudrais pas vivre éternellement ? » Astoria avait choisi l'éternité en buvant dans la coupe d'or le jour de son vingt-septième anniversaire. Pourtant, ce n'était pas l'éternité qui l'y avait poussé, c'était surtout l'idée de ne pas faire souffrir sa mère. Elle savait que Dorianne avait déjà perdue une fille et elle ne voulait pas que celle-ci souffre à nouveau. « Si j’avais su, je ne suis pas sûre que j’aurais fait un tel choix. » Si elle avait su que Dorianne n’était pas sa véritable mère, il n’est pas certain qu’elle aurait bu, mais les choses étaient telles quelles et Astoria ne pouvait rien changer à sa vie passée, elle ne pouvait agir que sur le futur.

Le boucher revenait avec les cochons de lait emballés dans des cartons, Apollo déposait le tout dans le caddie et Astoria se penchait pour prendre une poche de marshmallows. Elle l'ouvrait, sentait et finissait par en mettre un dans la bouche. Elle avait pris l'habitude de manger de la nourriture au fil des siècles, bien qu'elle soit une vampire, lors des fêtes la cour de la Reine Rouge aimait proposer des mets de choix et Astoria n'avait jamais voulu se priver de ce qu'elle avait connu lorsqu'elle avait été humaine, mais c'était la première fois qu'elle goûtait aux marshmallows et elle avait l'impression de croquer dans un nuage, enfin c'est à ça qu'elle pensait lorsqu'elle avait ce bonbon à la bouche. « C'est excellent ! » s'exclama-t-elle une fois le deuxième marshmallows engloutit. « Il faut en prendre plus. »

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Ven 15 Mar - 23:37

Happier - Marshmello

A.-J. se retenait au maximum de rire car bien sûr que ce serait moqueur mais pas méchant. Elle était trop mignonne, et il peinait à croire qu’elle ne connaissait pas tout ça. C’était à se demander si elle avait vécu dans une grotte… C’fou… Elle a l’air d’un O.V.N.I. dans le magasin. Tout le monde la regarde, ça va pas être facile de chiper quelque chose… Ou alors elle me servira de diversion. Déjà que moi, je dénote un peu avec les autres, mais elle… Moi j’ai juste l’air d’un cas social excentrique et exubérant. Haha ! C’est ce que je suis en fait ! Normal…

Malgré tout, quelques rires lui avait échappé et il ne se gênait pas pour y aller sur les commentaires. Il avait rarement de filtre et disait ce qu’il pensait. Astoria ne serait pas la première à lui en coller une. Il s’y attendait en général depuis le temps. Et tellement pas à la fois. Cela reste toujours une surprise pas agréable, mais je me raisonne très vite en me disant que je l’ai sûrement mérité. Une de plus ou de moins… Si ça peut soulager les gens, allez y ! Mon corps vous appartiens !

La rencontre avec le boucher fut une mince affaire aussi, après le rayon si divers des sodas. Et encore, elle n’avait pas vu les sucreries ! Certes Astoria avait sa manière de faire, mais ce n’était pas une raison d’être désagréable et Apollo n’avait vraiment pas apprécié l’attitude de l’homme. Il se moquait bien d’elle, mais il la connaissait et c’était gentil. Le boucher, il n’avait rien de gentil. A.-J. l’avait senti et il le remis à sa place, l’envoyant chercher ce qu’ils avaient demandé. Se retoruvant seul devant la vitrine de la partie boucherie, Astoria en avait profiter pour discuter avec le jeune mortel. Pourquoi tout le monde lisait les étiquettes. Apollo se posait la même question. Il ne lisait que les dates de péremption lui et encore… Il lui expliquait que l’Homme voulait vivre plus sainement et plus longtemps.

La question d’Astoria le fit sourire. Il levait une épaule et la relâchait brusquement. « Hm, oui… C’est ce que tout le monde aimerait, car l’être humain manque vraiment que d’une chose dans la vie, c’est de temps… C’est certain. Moi je m’en fiche oui. Je mourrais quand ce sera mon heure, je cours pas après la vie éternelle… Si tu vis trop longtemps, les choses d’une vie fugaces n’ont plus de valeur et pire après… Plus de sens. » lui partageait-il son avis sur la vie éternelle. « A quoi bon prendre des choix cruciaux, prendre des risques si tu sais que finalement, t’auras encore l’occasion de le faire. Et apprendre ? A un moment, t’auras plus rien à apprendre, tu ne pourras plus t’enrichir, ou seulement de la déchéance de l’Humanité car elle la perd… Son humanité. » continuait-il sa façon de voir les choses. « Puis tu sais, depuis tout petit, j’ai vécu en risquant de mourir demain, alors… Ça aide peut-être. » rajoutait-il d’un ton léger avec un petit rire mais il était très sérieux. Ses parents n’étaient pas les personnes les plus responsables et prudents. « Mais pourquoi tu n’aurais pas fais ce choix ? Tu as quel âge déjà ? Tu peux arrondir plus bas, t’inquiète » dit-il en se rappelant qu’on disait toujours que cela ne se faisait pas de demander l’âge d’une femme. Mais c’est pas une dame, c’est un vampire…

Les deux cochons dans le caddie, il laissait Astoria pousser le caddie et elle en profitait pour ouvrir un des sachets de bonbons qu’il était allé attraper en route. Elle était resté sur les fesses et Apollo rit, attendri. Elle était trop mignonne. « Meuf, si tu savais tout ce que tu rates… Viens, on va au friandises et aux gâteaux, tu vas devenir folle je crois ! » Il était devant, attrapant le coin avant du caddie et la guidait dans la supérette pour arriver aux rayons des friandises. « Après, on passe aux chips et biscuit apéritif.» Et l'alcool !Une fois arrivé, il en prit plus comme elle avait dit. Vidant pratiquement le rayon pour remplir le caddie. « Je suis bien content de t’entendre dire qu’on en manquait tu sais… » lui dit-il avec son sourire adorable d’enfant innocent. « Vas y, choisi d'autre bonbon, je vais les voler pour toi… »

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Apollo-Jules Moreau
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Astoria K. Ravenwood
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Astoria K. Ravenwood
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Dim 31 Mar - 20:02
A-J. Moreau
Grilled marshmallows or grilled pig ?
Apollo avait répondu à la question que se posait Astoria, disant que lui-même ne voulait pas vivre trop longtemps parce qu’au bout d’un moment, on ne voyait plus la vie comme elle était, on ne se rendait plus compte de ce que c’était que de vivre et on se retrouvait vite ennuyé par l’éternité elle-même. Il n’avait pas tort et c’est un sentiment qu’Astoria avait éprouvé à plusieurs reprises au cours de sa longue vie. La première fois qu’elle avait retrouvé l’envie de vivre était après sa rencontre avec Lord Dynham. Cet homme lui avait procuré un plaisir tel qu’elle s’était sentie vivante. Sa déchéance l’avait faite frémir, ses moeurs peut orthodoxes l’avaient faites vivre. Mais son côté humain l’avait rappelé à l’ordre et elle s’était souvenue que ce n’était pas elle, se délecter sur des humains hypnotisés, ce n’était pas ça la vie, ce n’était pas ça qu’elle s’imaginait devenir. En même temps, comment pouvait-on imaginer être quelqu’un de bien lorsqu’on était un vampire ? Et puis Apollo l’avait, une nouvelle fois, sortie de ses pensées. « J’ai trois cent-vingt et une années exactement… » Elle laissait planer un silence, lourd. « Mais je n’en paraitrais que vingt-sept toute ma vie… » Une nouvelle fois, elle laissait marquer une pause. Apollo était peut-être l’un des seuls humains à travailler au cirque, Astoria n’avait pas eu peur de lui dire ce qu’il se passait au sein du cirque, si il avait eu peur, il aurait suffit de le tuer.

« Lorsque j’ai eu vingt-sept ans, j’ai pris la décision de devenir Vampire. Je savais que ma mère serait triste si je ne faisais pas ce choix, je me persuade sans cesse qu’elle l’aurait accepté, mais au fond, je n’en suis pas certaine. » La Reine Rouge était une femme de caractère et bien qu’elle ai menti à Astoria sur sa véritable mère, elle l’aimait du plus profond de son être et elle n’aurait jamais supporter de voir sa fille mourir trop tôt. « J’ai prit cette décision en mon âme et conscience et je savais qu’il n’y aurait pas de retour en arrière. J’aimais profondément ma mère et je voulais qu’elle soit heureuse, parce qu’en tant qu’humaine c’est ce que j’étais. Une enfant dont l’amour guidait sa vie. » Astoria se sentait stupide, mais elle acceptait la vie qu’elle avait vécut et elle ne regrettait rien. Jusqu’à ce fameux jours ou elle avait appris que Dorianne n’était pas sa mère. « Et puis j’ai appris la vérité sur ma naissance et ma vision des choses à changée. C’est pour ça que je ne suis pas certaine qu’à l’époque je n’aurais pas prit une décision différente. » Elle regardait Apollo, est-ce que la vie mortelle lui manquait réellement ? Ou était-ce seulement une pensée guidait par la colère qu’elle éprouvait ? « Trois cent-vingt ans, c’est très long et je t’assures que je me suis sentie vide à plusieurs reprises, mais malgré tout, on est toujours surpris par l’humanité. » Parce qu’Astoria pensait avoir tout vu, mais Apollo était un humain à part.

Après qu’Astoria se soit extasiée sur les marshmallows, Apollo l’avait entrainé ver le rayon des gâteaux et des friandises. La Vampire ne savait pas grand chose de la vie de son employé, seulement que c’était un outsider et elle éprouvait de la tendresse pour lui, malgré le fait qu’il soit agaçant sur plusieurs points. Mais il faisait parti de ces gens qui lui donnait l’impression de vivre vraiment. Elle suivait Apollo dans les rayons et ouvrait les paquets pour goûter à tout. Apollo vidait le rayon de marshmallows dans le caddie et Astoria souriait bêtement. « Vas y, choisi d'autre bonbon, je vais les voler pour toi… » La Vampire fut touchée. Il était si candide en cet instant. Astoria pointa du doigt des bonbons en forme de fraise et elle regarda Apollo faire. C’était si attentionné de sa part et depuis Nathaniel, personne n’avait fait quelque chose de risqué pour elle. Une employée du magasin s’était montrée. « Excusez-moi, vous savez qu’il va falloir payer pour tout ça. » Astoria s’était mise à rire. « Mais bien sûre ma chère, je vous paierais bien. » Elle prenait Apollo par le bras et le tirait dans un rayon. Elle riait, c’était si rare de la voir rire. « Je savais que je ne faisais pas une bêtise en acceptant que tu nous rejoignes. » Elle lui attrapait les mains et le regardait dans les yeux. « Si tu as besoin de quoi que ce soit Apollo, tu viens me voir. » Elle considérait les membres du cirque comme une seconde famille, des gens qu’elle se devait de protéger, mais rares étaient ceux qu’elle enjoignait particulièrement.

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Astoria K. Ravenwood
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